LE BLOG DE L'ANDRIAGUE

  Le livre : « Grillés comme des praslines ! » de Yann K aux éditions de l’Ecluse (collection Les polars du Gâtinais) Montargis est connue pour enchanter nos palais avec ses pralines et autres gourmandises, mais vous découvrirez avec ce livre que la Venise du Gâtinais cache bien ses secrets. Et le commissaire Norbert Morel n’est pas au bout de ses peines quand il croit clore facilement une banale affaire de cambriolage dans la célèbre confiserie Mazet. Hélas pour lui, une question le taraude : pourquoi le cambrioleur a-t-il emporté un vieux violon sans aucune valeur caché en haut d’une armoire alors que les locaux du confiseur regorgeaient de trésors à portée de main ? Tandis que le commissaire s’interroge sur cette singularité, un homme meurt, étranglé sur les marches du musée de l’amitié franco-chinoise. Et l'enquête de Norbert Morel conduit à penser que ces deux évènements plongent leurs racines dans l’histoire de la ville. Heureusement que le commissaire peut s’adjoindre l’

Le 15 juillet à minuit , c’était la date limite pour envoyer son manuscrit et pour concourir pour le prix Guillaume de Lorris. Ce prix est tout nouveau puisque c'est la première année de son existence. Il a été créé par les éditions L'Andriague dans le but de couronner un manuscrit de roman inédit.  L’Andriague a reçu dix sept manuscrits de romans et remercie les auteurs et les autrices qui lui ont fait confiance et lui ont envoyé leurs œuvres. Car, reconnaissons-le, c’est difficile, il faut du courage pour présenter son travail au regard des autres et attendre leur jugement. Donc un grand bravo à eux et à elles. Les manuscrits ont été, au fur et à mesure de leur arrivée, communiqués aux neuf membres du jury dont voici la composition : Président : Jean-Pierre Sueur   - sénateur du Loiret, ancien ministre, ancien maire d’Orléans mais aussi professeur de linguistique et auteur de plusieurs ouvrages (photo ci-dessus au centre). Membres du jury : Jean-Michel Cazeaux –

                L'Andriague a de grands et nombreux projets. Mais peu de moyens et beaucoup de besoins de financement. Imprimer des livres coûte cher! Et d'autant plus cher qu'on souhaite continuer à les imprimer en France et à faire travailler nos imprimeries afin qu'elles n'en viennent pas toutes à disparaître.      Notre  maison d'édition espérait pouvoir financer l'impression du livre suivant avec les bénéfices du livre précédent. Nous avons malheureusement dû nous rendre à l'évidence, la vente de nos ouvrages ne rapporte pas suffisamment pour ce faire. Et surtout nous n'en vendons pas assez.                Lors de notre première assemblée générale, après un an d'existence, la trésorière de l'association nous a contraintes à reposer les pieds sur terre. Nous avons publié trois livres et en avons réimprimé un : c'était bien trop ambitieux compte tenu de nos finances. Nous sommes en déficit.                Du coup, le grand et beau pr